Productivity, Structural Change and LatinAmerican Development

Abstract

Standard-Nutzungsbedingungen:Die Dokumente auf EconStor dürfen zu eigenen wissenschaftlichen Zwecken und zum Privatgebrauch gespeichert und kopiert werden.Sie dürfen die Dokumente nicht für öffentliche oder kommerzielle Zwecke vervielfältigen, öffentlich ausstellen, öffentlich zugänglich machen, vertreiben oder anderweitig nutzen.Sofern die Verfasser die Dokumente unter Open-Content-Lizenzen (insbesondere CC-Lizenzen) zur Verfügung gestellt haben sollten, gelten abweichend von diesen Nutzungsbedingungen die in der dort genannten Lizenz gewährten Nutzungsrechte. Terms of use: Documents in AbstractWe calibrate a simple neoclassical model of structural transformation to a set of Latin American countries and show that slow growth in agricultural productivity can substantially delay the development process and result in significant differences in per capita incomes. Some of our results indicate that low agricultural productivity delayed the beginning of the industrialization process in Paraguay and Bolivia by about 100 years compared to the leader of the group, Chile. The development process can be accelerated, however, by increasing productivity in the non-agricultural sector. In fact, in the long run, it is non-agricultural productivity what determines the speed of convergence. Improvements in non-agricultural productivity between 20% to over 100% would be required for the other Latin American countries in our set to significantly close the income gap with Chile by the end of the century.

Productivity Convergence and Divergence in Latin America, 1970-2014

“…Regardless our 'partial' convergence findings, our study contradicts with the previous studies Ramlogan 2002a, 2002b;Ramirez and Nazmi 2003;Astorga et al 2005;Astorga 2010) which provide evidence that in different periods countries' income growth levels converge. However, our overall findings support Saravia et al (2014) suggesting that nonconvergence in Latin American countries is attributed to different countries' non-uniform productivity levels.…”

Les déterminants de la productivité agricole dans les pays de l'Afrique subsaharienne

“…En effet, pour que l ' agriculture joue un rôle positif dans le développement économique, il est impératif qu ' une augmentation substantielle de la production soit obtenue à travers une amélioration de la productivité (Christensen & Yee, 1964). Dans les pays développés, la hausse substantielle de productivité dans le secteur agricole au fil du temps a permis de libérer l ' excédent de la main d ' oeuvre dans ledit secteur, ce qui explique la faible part de la main d ' oeuvre consacrée à ce secteur dans ces pays (Saravia et al, 2014). La hausse de la productivité agricole étant un préalable à la transformation structurelle, il est opportun pour les pays de l ' Afrique subsaharienne d ' identifier les voies et moyens permettant d ' accroitre la productivité agricole dans ces pays.…”

“…Une différence entre les pays pauvres et les pays riches est que les pays pauvres ont commencé leur processus de transformation structurelle beaucoup plus tard que leurs riches homologues (Lucas, 2000). La faiblesse de la productivité agricole dans les pays pauvres étant à l ' origine (Saravia et al, 2014). Outre la faible productivité agricole dans les pays pauvres, ces derniers y consacrent beaucoup plus de leur travail que les pays développés (Caselli, 2005 ;Grabowski & Self, 2018 ;Herrendorf et al, 2015).…”

“…Par ailleurs, une augmentation de la productivité du secteur agricole libérera un surplus de travail qui sera disponible pour d ' autres secteurs économiques (Abdelmalki & Mundler, 1995 ;Johnston, 1951 ;Lele, 1986). C ' est ainsi que Gollin et al (2002), Saravia et al (2014) et Yeboah et Jayne (2017 montrent que les pays qui connaissent une augmentation de la productivité agricole sont ceux qui sont en mesure de libérer la main-d ' oeuvre de l ' agriculture vers d ' autres secteurs de l ' économie. En Asie par exemple, la hausse de la productivité agricole a généré une offre excédentaire et cette main-d ' oeuvre excédentaire a constitué le principal facteur d ' attraction pour les investissements (Chandrasekhar & Ghosh, 2013).…”

“…En dépit de cette forte concentration de la main d ' oeuvre dans le secteur agricole des pays de l ' Afrique subsaharienne, l ' agriculture n ' a contribué qu ' à 0, 39 point de pourcentage pour un taux de croissance de 2, 6% en 2018. La faible productivité agricole dans ces pays expliquant de ce fait la forte main d ' oeuvre qui y est consacrée (Saravia et al, 2014). Cela révèle la problématique d ' accroitre la productivité dans le secteur agricole afin de libérer le surplus de la main d ' oeuvre qui y est consacré.…”