“…Ce mode de régulation fait suite à un mode « hybride » : ce dernier conserve encore des traits de la régulation du XIX e s. fondée sur l'autorité du diplôme (du pharmacien et la renommée du clinicien-expert) et la production artisanale dans les officines alors même que montent en puissance les normativités industrielle (mécanisation, standardisation) et étatique (règlements, visas, recueil de données standardisées, cf. Tournay, 2007, Chauveau, 1999 (Montalban, 2007(Montalban, , 2011. Un processus qui n'est pas sans contradictions (déclin des innovations thérapeutiques, problèmes organisationnels liés aux fusions).…”