Psychiatric Interview Comparisons Between Infertile and Fertile Couples

Abstract

Matched groups of infertile and fertile married couples were studied by means of a psychiatric interview. The infertile wives exhibited significantly more hysterical and aggressive personality disorders and showed some evidence of ambivalence and difficulties concerning sexual relationships. The infertile patients in general did not exhibit significantly more neuroticism or psychoticism.

Reste-t-il de la place pour la sexualité lors de la prise en charge en assistance médicale à la procréation ?

“…Les troubles sexuels, tels la dyspareunie, le vaginisme ou l'inhibition du désir, ont souvent pu être observés [12]. Par ailleurs, certaines femmes avouent moins rechercher le plaisir que la grossesse et d'autres privilégient, lors des rapports sexuels, la position couchée sur le dos ou sur le ventre, alors que les femmes fertiles useraient d'une plus grande variété de positions [13]. La demande de tendresse, quant à elle, est plus forte chez les femmes infertiles [14].…”

Le profil psychosocial de couples consultant à une clinique de fertilité

“…Il faut donc conclure, sur une base provisoire puisque la taille de l'échantillon n'est pas très élevée, que la consultation à une clinique de fertilité soulève davantage de difficultés psychosociales chez les femmes. Nous ne pensons pas, à l'inverse de certains auteurs (e.g., De Watteville, 1957;Mai et al, 1972) que ces résultats démontrent que les femmes infertiles souffrent davantage de névrose, de désordre de personnalité ou de troubles sexuels que les hommes. Dans notre société, la conception et l'éducation des enfants représente encore une des principales responsabilités de la femme.…”

L'impact de l'infertilité et de ses traitements sur la vie sexuelle et la relation de couple : revue de la littérature

“…• la désorganisation, la détérioration de la vie sexuelle des femmes en situation d'infertilité 2 [10,13,[17][18][19]21,30,33,[37][38][39][40][41][42][43][44][45][46][47] ;…”

“…La capacité à atteindre un orgasme, par exemple, ne serait pas affectée chez la majorité des femmes infertiles, bien que certaines avouent moins rechercher le plaisir, l'orgasme, que la grossesse. Dans une étude, plus ancienne, en dehors de notre période de sélection, et non contemporaine des techniques des AMP mais qui mérite d'être citée de par la rareté de ce type de recherche, Mai et al [37] s'étaient également intéressés aux pratiques sexuelles des femmes infertiles en parvenant aux mêmes conclusions. Les auteurs, rendant compte des effets de l'infertilité seule sur les pratiques sexuelles féminines, ont remarqué que les femmes infertiles privilégiaient, dans les rapports sexuels, la position couchée sur le dos ou couchée sur le ventre alors que les femmes fertiles usaient d'une plus grande variété de positions et techniques.…”