Psychologic Aspects of Early Pregnancy Loss

Abstract

Early pregnancy loss is a complicated psychologic event that occurs in 12% to 24% of recognized pregnancies. Women who have experienced miscarriage often have common bereavement reactions and while the intensity and experience of these reactions diminishes over time for most women, a substantial minority will develop long-term psychiatric consequences. Depression, symptoms of anxiety, obsessive-compulsive disorder, and posttraumatic stress disorder are the most commonly reported psychologic reactions to miscarriage. The course and impact of these disorders on a grieving mother and her partner are discussed and treatment recommendations are made. The psychologic effects of therapeutic abortion are also be briefly discussed.

Support following miscarriage: what women want

“…Miscarriage, or spontaneous abortion, is a relatively frequent event concerning anywhere from 12 to 24% of all pregnancies (Carter, Misri & Tomfohr, 2007). Miscarriage is the most common pregnancy complication and one out of four women have faced losing a baby in this way (Regan, 2001).…”

L’impact psychologique de la fausse couche : revue de travaux

“…Les principes de ces thérapies ont été également été utilisés dans le cadre de la prévention dans le domaine de la maternité, notamment pour les dépressions postnatales [64] et l'aide à l'allaitement maternel [65]. Carter et al [2] évoquent l'intérêt de la thérapie cognitive et comportementale pour aider les femmes à la suite de leur fausse couche et précisent que l'approche cognitive peut être particulière-ment utile face aux sentiments de culpabilité, d'incapacité, de peur et de dépression. Ces approches ne doivent pas se substituer aux autres types de thérapies existants mais peuvent constituer un complément ou une alternative inté-ressante, notamment pour les femmes qui ne nécessitent pas un suivi de longue durée.…”

“…C'est un événement très fréquent qui concerne 12-24 % des grossesses [2], soit environ 200 000 femmes chaque année en France [3]. En dépit de cette fréquence, il apparaît que la fausse couche n'est pas un événement banal pour les femmes qui y sont confrontées.…”

L’efficacité d’une brève intervention de soutien sur l’anxiété, la dépression, et le stress après une fausse couche

“…C'est un événement fré-quent qui concerne 12 à 24 % des grossesses [2] soit environ 200 000 femmes chaque année en France [3].…”

“…Les principes des thérapies cognitives et comportementales ont été utilisés dans le cadre de la prévention dans le domaine de la maternité, notamment pour la prévention des dépres-sions postnatales [14] et l'allaitement maternel [15]. Carter et al [2] évoquent l'intérêt de ce type de thérapie pour aider les femmes à la suite de leur fausse couche et pré-cisent que le travail cognitif peut être particulièrement utile face aux sentiments de culpabilité, d'incapacité, de peur et de dépression. Si les caractéristiques de ces théra-pies semblent pouvoir s'appliquer à une intervention visant à prévenir les difficultés liées à la fausse couche, il est nécessaire d'évaluer l'efficacité d'un tel soutien à l'aide d'une méthode quasi-expérimentale.…”