Psychosocial support for maternal stress during pregnancy: Effect on birth weight

Rothberg, A. D.; Lits, B.

doi:10.1016/0002-9378(91)90103-x

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“…Il existe des recherches appuyant l'idée que les effets du stress prénatal maternel peuvent être tempérés de façon significative avec une intervention de « soutien psychosocial » (Rothberg et Lits, 1991), ou même avec du feedback à partir d'échographie du foetus (Field et al, 1985b). Les omnipraticiens sensibilisés à cette question de stress préna-tal maternel pourraient inclure une évaluation des stresseurs dans une section des visites prénatales de routine.…”

Section: Impact Possibleunclassified

La tempête de verglas : une occasion d’étudier les effets du stress prénatal chez l’enfant et la mère

King¹,

Barr²,

Brunet³

et al. 2006

smq

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Résumé Depuis plusieurs années, des études ont démontré que les événements stressants pendant la grossesse affectent le niveau de développement neurologique, de même que le fonctionnement cognitif et psychologique ultérieurs de l'enfant. Par exemple, Mednick (1997) a examiné l'impact d'un important séisme survenu en Chine sur le développement intellectuel et psychologique d'enfants à naître. Vingt-trois ans plus tard, des différences significatives dans le fonctionnement intellectuel, la dépression et la taille de certaines régions du cerveau ont été constatées chez ce groupe en comparaison aux enfants du groupe témoin. Des événements de moindre envergure, tels un divorce ou la perte d'emploi durant la grossesse, peuvent également augmenter l'incidence des complications obstétricales et avoir un impact sur le fonctionnement neurologique du bébé, son poids à la naissance et la circonférence de sa tête. Le décès du père ou l'exposition à un désastre naturel durant la grossesse ont été associés à la dépression, à la schizophrénie et à la criminalité à l'âge adulte. Divers effets adverses reliés aux événements stressants ont aussi été notés chez les primates. L'ensemble de ces études suggèrent que le second trimestre de la grossesse constitue une période critique pendant laquelle les événements stressants peuvent affecter le développement du foetus. Des contraintes méthodologiques nuisent actuellement à la recherche sur le stress prénatal maternel. Les études sur des animaux offrent d'excellents contrôles des environnements prénatal et postnatal. Cependant, les résultats de ces études sont difficilement applicables à l'humain à cause de la présence chez ce dernier, de nombreux facteurs de risque ou de protection absents chez les animaux. De plus, on ne peut assigner les stresseurs de façon aléatoire, dans les études sur les effets des événements de vie pendant la grossesse humaine. En effet, les traits de personnalité de la mère peuvent être transmis certes génétiquement mais également au niveau du développement. Par ailleurs, les enfants d'une mère avec de telles difficultés de personnalité sont exposés à plus d'événements de vie prénatale. D'autre part, la majorité des études sur l'humain ont une variance restreinte car il faut un très vaste échantillon de femmes enceintes pour garantir un nombre suffisant de sujets ayant vécu des événements de vie majeurs. Finalement, les études rétrospectives démontrant un lien entre un risque élevé de schizophrénie ou de dépression et des événements prénataux n'incluent pas de mesures prises sur le champ de la gravité objective ou de la manifestation biologique du stress. Nous présentons ici une revue de littérature portant sur le stress prénatal suivie d'une discussion sur comment la tempête de verglas de 1998 pourrait être utilisée pour faire la lumière sur des questions telles que les mécanismes par lesquels le stress prénatal exerce une influence sur la santé mentale du foetus.

show abstract

Section: Impact Possibleunclassified

La tempête de verglas : une occasion d’étudier les effets du stress prénatal chez l’enfant et la mère

King¹,

Barr²,

Brunet³

et al. 2006

smq

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“…Because there is a higher incidence of preterm birth among Hispanic and African American populations than among White women (Agency for Healthcare Research and Quality [AHRQ], 2000), some researchers have proposed that demographic stressors such as racism may lead to preterm birth (Rich-Edwards et al, 2001). Others have studied stress and preterm birth only in homogeneous samples, producing findings representative of one race or a single parity status, socioeconomic class, educational background, or partner status (Lobel et al, 1992;Rothberg & Lits, 1991;Sandman et al, 1994;Wadhwa et al, 1993;Wadhwa et al, 1996;Whitehead et al, 2002;Yali & Lobel, 1999;Zuckerman et al, 1989).…”

Section: Sample Differences and Other Confounding Factorsmentioning

confidence: 99%

Psychological and Physiological Stress: Impact on Preterm Birth

Gennaro

Hennessy

2003

Journal of Obstetric, Gynecologic & Neonatal Nursing

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Stress increases corticotropin‐releasing hormone and may ultimately result in increased uterine contractility. Stress also increases cytokine production, which independently may lead to preterm birth or increase susceptibility to infection, thereby increasing the risk of preterm birth. Finally, stress may change health behaviors that lead to preterm birth. Research findings on the relationship between stress and preterm birth have been contradictory. In this article, the authors propose a model of the relationship between stress and preterm birth, evaluate the research on stress and pregnancy outcomes, and discuss the implications for nursing practice and research.

show abstract

“…Intrauterine growth retardation with birthweight lower than the 10th percentile was associated with smoking habits (adjusted OR = 2.40 for 0-9 cigarettes daily, 2.68 for [10][11][12][13][14][15] t.10 > P . .05; *P < .05; **P < .01; ***P < .001.…”

Section: Growth Retardationmentioning

confidence: 99%

Intrauterine growth retardation and premature delivery: the influence of maternal smoking and psychosocial factors.

Nordentoft¹,

Lou²,

Hansen³

et al. 1996

Am J Public Health

269

132

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OBJECTIVES. This study investigated the influence of psychosocial stress, maternal schooling, social support, psychological well-being, alcohol, and smoking on intrauterine growth retardation and premature delivery. METHODS. At a Copenhagen university hospital, 2432 pregnant women completed a questionnaire on general health, psychosocial stressors, and sociodemographic characteristics. RESULTS. In 212 cases (8.7%) the women delivered prematurely. Preterm delivery as associated with psychosocial stress (adjusted odds ratio [OR]=1.14 for each 1-point increase on the psychosocial stressor 5-point scale and 1.92 for the whole scale) and poor school education (adjusted OR=2.62 for 7-9 years of schooling, 1.91 for 10 years, and 1.0 for 11-13 years). In 152 cases (6.3%), infants had a birthweight below the 10th percentile. Intrauterine growth retardation was associated with smoking, daily drinking, school education, and social network variables. In a multiple logistic regression model, intrauterine growth retardation was associated with smoking habits (adjusted OR=2.40 for 0-9 cigarettes daily, 2.68 for 10-15 daily, and 2.88 for more than 15 daily). CONCLUSIONS. Psychosocial stressors and limited duration of schooling appeared to influence preterm delivery. Smoking habits influenced intrauterine growth retardation.

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Psychosocial support for maternal stress during pregnancy: Effect on birth weight

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La tempête de verglas : une occasion d’étudier les effets du stress prénatal chez l’enfant et la mère

La tempête de verglas : une occasion d’étudier les effets du stress prénatal chez l’enfant et la mère

Psychological and Physiological Stress: Impact on Preterm Birth

Intrauterine growth retardation and premature delivery: the influence of maternal smoking and psychosocial factors.

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