En suivant la voie ouverte par Nicolas Duruz, nous avons mené une réflexion sur le débat violent qui anime le monde des psychothérapies aujourd’hui, afin de proposer quelques solutions. Un pan a été également ouvert sur la violence en pratique, et nous y avons présenté deux prototypes de violence : une violence qualifiée d’utile et une autre dite destructrice. En effet, il paraît que la violence, surtout positive, est intrinsèque à toute pratique psychothérapique et que la violence négative serait le fait des pratiques des psychothérapeutes ignares, mal formés ou non formés du tout. Cette dernière inclurait les « réactions thérapeutiques négatives » souvent observées chez certains patients.