Recent research has suggested that deaf children use certain non-linguistic coping strategies when completing common reading tests. In this paper, the Picture Assisted Reading Test (PART) is considered; this word-recognition test is standardized for use with non-articulating deaf children, allowing them to choose the correct response from sets of four pictures. Early items were successfully identified by most deaf children; however, an analysis of the pattern of responses revealed a consistent non-reading strategy on later items. There were remarkable similarities between the pattern of responses made by deaf children supposedly reading the stimulus words and the responses of a group of hearing children who simply picked the most salient pictures from each response set. It was concluded that the measurement of reading ability in the deaf by the PART is hampered by the strategies used by children attempting to complete the test.
RESUMEDu retard en lecture, ou dkficit linguistique? 111: nouvel examen des stratkgies de rkponse dans un test de lecture fait par des en fants sourds On croit, en gtntral, dans la plupart des pays de l'ouest que le savoir-lire des enfants atteints de surditt partielle ou profonde plafonne A l'bge d'environ huit ou neuf ans.
Des recherches rtcentes employant lesSouthgate et Brimer Wide-Span tests ont dtmontrt que beaucoup d'enfants sourds se servent des strategies 'suffisantes' qui les rendent capables d'achever faussement ces tests. Ces strattgies se trouvent partout et ont tendance d'obscurcir le vrai caract2re des habiletts de lecture employtes par les enfants sourds qui pourraient Ctre rtvt1Cs par d'autres tests de 0141-0423/83/0601-19 0 1983 JournalofResearch in Reading (UKRA) 19 20 W.D.A. BEGGS AND P.I. BRESLAW lecture plus valables. I1 s'agit dans ce papier d'un test de reconnaissance des mots trts connu, le Picture Assisted Reading Test (PART). Ce test s'est dtveloppt pour donner A l'enfant sourd de mauvaise tnonciation une tPche de lecture, plut6t qu'une tPche de parler; il doit choisir la rtponse juste d'entre un groupe de quatre dessins simples associts i i chaque mot stimulus. Le test a t t t standardist pour que les populations et sourdes et d'ou'ie fine puissent l'employer, et il est t r b prtcis, solide et valable quand on l'administre aux gens qui entendent sans difficult&.Mais les enfants sourds ont tendance d'achever un score total, A partir duquel le savoir-lire est calcult, en identifiant un sous-groupe de mots tout A fait difftrent de celui choisi par les autres enfants. 11s parcourent le test en htsitant, choisissant des rkponses apparemment justes assez souvent pour tviter la terminaison du test, tandis que les enfants d'ou'ie normale arrivent typiquement un seuil au-del8 duquel ils ne peuvent plus identifier des mots stimulus.Un examen de la rkpartition des rCponses faites par des enfants sourds dans les groupes de dessins a dtmontrk que la plupart du temps, les rtponses ttaient donnks apr& beaucoup de rtflexion. Ceci suggere que, loin de hasarder des conjectures, d...