“…Le risque de syndrome d'apnée du sommeil (SAS) a été éva-lué par le questionnaire de Berlin et l'échelle de somnolence d'Epworth. En cas de risque élevé, un dépistage par polygraphie nocturne ou polysomnographie était proposé [7,10]. Les antécédents de syndrome dépressif ou de trouble anxieux, la présence ou non d'une maladie de système, un antécédent de fibrillation auriculaire ont été recherchés [5].…”