Lodgepole pine is extensively planted across western Canada but little is known about development of these stands beyond the juvenile stage. We quantified stocking status and damage incidence in sixty-six 15-to 30-year-old lodgepole pine plantations that had previously been declared free-growing in the southern interior of British Columbia. The stands were located in six biogeoclimatic zones: Engelmann Spruce-Subalpine Fir (ESSF), Montane Spruce (MS), Interior Cedar-Hemlock (ICH), Interior Douglas-fir (IDF), Sub-Boreal Spruce (SBS), and Sub-Boreal Pine-Spruce (SBPS). Freegrowing standards were no longer met on 27% of plantations, with the worst performance (70% no longer free-growing) in the Interior Cedar-Hemlock forests. Natural regeneration was common but it was half the size of lodgepole pine. Biotic damage, especially hard pine stem rusts, was the dominant factor reducing free-growing densities. Stands were at greater risk of reduced stocking where summer precipitation was higher or soil moisture regimes were wetter and where stands had been broadcast-burned prior to planting or received secondary treatments of brushing or pruning. Reforestation policies that encourage widespread planting of lodgepole pine, particularly in areas where lodgepole pine has limited natural occurrence such as in the ICH zone, should be reconsidered given that health problems are extensive and are expected to increase with climate change.Key words: Pinus contorta, lodgepole pine, free-growing, stocking, forest health, damage, disease résumé Le pin lodgepole est planté à grande échelle partout dans l'Ouest canadien, mais on sait peu de chose sur le développe-ment de ces peuplements au-delà du stage juvénile. Nous avons quantifié la densité relative et l'incidence des dégâts de 66 plantations de pin lodgepole âgées de 15 à 30 ans qui avaient été déclarées comme étant établies et retrouvées dans la zone intérieure sud de la Colombie-Britannique. Les peuplements étaient répartis entre six zones biogéoclimatiques : épinette d'Engelmann -sapin subalpin (ESSF), épinette alpestre (MS), pruche-cèdre -intérieur (ICH), Douglas taxifolié -intérieur (IDF), épinette des forêts boréales moyennes (SBS) et épinette et pin des forêts boréales moyennes (SBSP). Les normes utilisées pour fin d' établissement de la plantation n' étaient plus respectées dans 27 % des plantations, la pire performance (70 % d' échec) se retrouvant dans les forêts de pruche-cèdre. La régénération naturelle était fréquente mais atteignait seulement la moitié du niveau du pin lodgepole. Les dégâts biotiques, notamment les rouilles du tronc des pins durs, ont été le facteur dominant de réduction des densités relatives permettant de déclarer les plantations comme étant établies. La densité relative était plus à risque d' être réduite dans le cas des peuplements où les précipitations au cours de l' été étaient élevées ou que le régime hydrique du sol était plus humide et lorsque les peuplements avaient été soumis à un brûlage contrôlé avant plantation ou à des traiteme...