“…En ce sens, les femmes ayant des symptômes dépressifs ont des résultats significativement inférieurs sur plus de la moitié des sous-échelles évaluant le fonctionnement sexuel, i.e., pensées sexuelles et libido (désir sexuel, intérêt sexuel; p < 0,06), fréquence des activités sexuelles, satisfaction sexuelle par rapport au partenaire et problèmes affectant le fonctionnement sexuel (lubrification vaginale, dysfonctions sexuelles, dyspareunie, problèmes affectifs reliés à la sexualité, problèmes orgasmiques, préoccupations sexuelles) et sur l'échelle globale évaluant le fonctionnement sexuel général. Ces résultats concordent avec ceux obtenus dans plusieurs autres études mentionnées précédemment (Azar et al, 2007;Clayton et al, 1997;Cyranowski, Bromberger et al, 2004;Frohlich & Meston, 2002;Kuffel & Heiman, 2006;Mathew & Weinman, 1982).…”