“…Leur recherche (notamment du quatuor : troubles du sommeil, fatigue, douleur et détresse) doit être systématisée pour réduire la prévalence élevée de soins de support non satisfaits[4,20,21] mais aussi, dans l'intérêt bien compris, de mieux traiter le cancer (prévention secondaire)[2,4,20]. À titre d'exemple, le dépistage régulier et la prise en charge d'une dépression, présente chez 15 à 20 % des malades, sont devenus une recommandation[15,18] du fait de son impact délétère pour le pronostic carcinologique et vital [15,18,19] ; • le dépistage de complications plus tardives dans la population croissante des « survivants », notamment cardiooncologiques et gonadiques, le cancer et/ou son traitement étant souvent un facteur délétère [4,5,22]. Point très important, ces effets indésirables/séquelles/ comorbidités fragilisent les plus vulnérables en favorisant les addictions, une hygiène de vie insuffisante, les troubles de l'humeur et/ou une mauvaise observance, c'est-à-dire autant de facteurs aggravants pour le bien-être, la santé globale et… le cancer [2,4,19,23] !…”