Despite the success of the Iranian family planning programme, the number of unwanted pregnancies remains high. To investigate whether health workers in Tabriz are providing correct information and counselling about OCP use, the current study was planned to examine the level of knowledge, attitude and practice of OCP providers. A sample of 150 health-care workers in health houses and 150 community/hospital pharmacists answered a questionnaire about knowledge of correct use of OCP, side-effects, contraindications, danger signs/symptoms and non-contraceptive benefits, and whether they counselled patients about these subjects. Knowledge of pharmacists and health workers was not as high as expected and in many topics they were counselling patients even when they had incorrect knowledge and in other areas they were not providing information to patients despite having the correct knowledge. Better continuing education for OCP providers and especially for pharmacists seems necessary.
Connaissances, attitudes et pratiques des pharmaciens et des agents de soins de santé concernant l'utilisation correcte des contraceptifs oraux, les effets secondaires et les contre-indicationsRÉSUMÉ Malgré le succès du programme de planification familiale iranien, le nombre de grossesses non désirées reste élevé. Pour savoir si les agents de soins de santé à Tabriz fournissaient des informations et des conseils adaptés sur l'utilisation des pilules contraceptives, la présente étude a été planifiée pour examiner le niveau de connaissances, les attitudes et les pratiques des personnes qui dispensent des pilules contraceptives. Un échantillon de 150 agents de soins de santé dans des maisons de santé et de 150 pharmaciens en milieu hospitalier ou communautaire ont répondu au questionnaire évaluant leurs connaissances sur l'utilisation correcte des pilules contraceptives, les effets secondaires, les contre-indications, les signes de danger/symptômes et les avantages non-contraceptifs, mais aussi sur l'offre ou non de conseils aux patientes en la matière. Les connaissances des pharmaciens et des agents de soins de santé n'étaient pas aussi bonnes qu'escomptées. De plus, sur de nombreux sujets, ils conseillaient les patientes même lorsqu'ils avaient des connaissances erronées et dans d'autres domaines, ils s'abstenaient de proposer des conseils malgré la justesse de leurs connaissances. Améliorer la formation continue des des personnes qui dispensent des pilules contraceptives, et particulièrement des pharmaciens, semble nécessaire.