“…Les plus fréquemment recensés sont la nervosité, les peurs, les phobies, l'anxiété, la présence de manifestations dépressives, la colère, la culpabilité, les troubles du sommeil tels que les cauchemars et l'insomnie, la fatigue, l'hypertension ainsi que certains symptômes s'apparentant à l'état de stress post-traumatique (ÉSPT) (reviviscence de l'événement, hypervigilance, soubresauts, difficultés de concentration, hyperactivité, troubles de la mémoire, etc.) (Bolin, 1982;Crabbs & Heffron, 1981;Farberow, 1985;Gibbs, Green, & Winget, 1981;Green, 1991;Hartsough, 1982;Krug et al, 1998;Logue et al, 1981a;Madakasira & O'Brien, 1987;Meunier & Pierandrei, 1994;Norris et al, 2002;North et al, 1989;Rubonis & Bickman, 1991;Sharan, Chaudhary, Kavathekar, & Sexena, 1996;Shore, Tatum, & Vullmer, 1986, Shore, Vullmer, & Tatum, 1989Titchener & Kapp, 1976 (Norris et al, 2002;Shore et al, 1989;Voguei & Vernberg, 1993 Plusieurs études se sont également attardées à la durée des symptômes ressentis chez les individus à la suite des catastrophes. Certaines ont démontré que l'intensité de la plupart des symptômes ressentis chez les victimes atteint son apogée dans la première année suivant l'événement (Norris et al,, 2002) et va, par la suite, diminuer graduellement (Adams & Adams, 1984;Green, Grace, Lingy, Titchener, & Lindy, 1983;Murphy, 1986a;Parker, 1977;Phifer & Norris, 1989;Shore et al, 1986;Solomon & Green, 1992 ;Steinglass & Gerrity, 1990 ;Thompson, Norris, & Hanacek, 1993).…”