To determine the current level of research participation of Alberta occupational therapists, the Edmonton Research Orientation (ERO) survey, with an additional section measuring perceptions of barriers to research, was mailed to 610 Alberta occupational therapists. From an initial response rate of 52%, there were 293 useable responses. Seventy percent of therapists reported no participation in research. There was an association between level of education and greater participation in research but participation in research was not limited to those with advanced degrees. Therapists who were actually participating in research had higher ERO scores. There were no differences between therapists at different levels of research participation in their perceptions of barriers to research. Limited time, limited research resources, concerns about the usefulness of research, and questions as to whether all therapists need to be involved in research were some of the issues raised by respondents. The results are compared to a similar study of Alberta speech-language pathologists. Recommendations for facilitating clinical research are included. RÉSUMÉ Dans le but de déterminer le degré de participation à la recherche des ergothérapeutes de l'Alberta, le Edmonton Research Orientation (ERO) survey a été distribué à 610 ergothérapeutes albertains, accompagné d'une section additionnelle visant à déter-miner les facteurs qui font obstacle à la recherche selon les ergothérapeutes. Suite à un pourcentage de réponses de 52%, 293 questionnaires ont été retenus. 70 % des thérapeutes rapportent qu'ils ne participent pas à la recherche. On observe un lien entre le niveau d'éducation et le degré de participation à la recherche, mais cette participation ne se limite pas aux ergothérapeutes possédant des diplômes d'études supérieures.Les thérapeutes qui participent actuellement à la recherche ont obtenu des scores plus élevés au ERO. On n'a observé aucune différence dans l'identification des facteurs faisant obstacle à la recherche parmi les ergothérapeutes interrogés, même si leur degré de participation à la recherche était différent. Parmi les facteurs faisant obstacle à la recherche, les ergothérapeutes ont mentionné la restriction des ressources, le manque de temps, le questionnement sur l'utilité de la recherche et sur la pertinence de la participation de tous les ergothérapeutes à la recherche. Les résultats du sondage ont ensuite été comparés à une étude semblable effectuée auprès des orthophonistes de l'Alberta. L'article présente également des recommandations dans le but de promouvoir la recherche clinique.