“…Les résidents des milieux ruraux sont également considérés comme socialement avantagés puisqu'ils possèdent une certaine stabilité sociale ainsi que de nombreux réseaux de soutien interpersonnels (George et al, 1986). Coward et Jackson (1983) (Fincher & Wulff, 1998 (Baker & Chapman, 1982;Bromet, Schulberg, & Dunn, 1982;Farberow, 1985;Melick, 1978;North, Smith, McCool, & Lightcap, 1989;Perry & Lindell, 1978;Quarantelli & Dynes, 1977;Tierney & Baisden, 1979). D'autres auteurs, au contraire, rapportent l'existence de psychopathologies et de maladies sérieuses, répandues et persistantes conséquentes aux désastres (Adams & Adams, 1984;Erickson, 1976;Gleen, 1979;Gleser, Green, & Winget, 1981;Green et al, 1990;Lifton & Oison, 1976;Phifer & Norris, 3989;Rangell, 1976;Solomon & Davidson, 1997;Titchener & Kapp, 1976), La plupart des chercheurs ont toutefois constaté qu'au cours de la première année suivant l'exposition à une catastrophe, les individus vivent plusieurs situations difficiles (pertes financières, perte du domicile, conflits familiaux, apparition de problèmes de santé physique) qui perturbent généralement leur état de santé psychologique et physique (Norris et al, 2002).…”