semblent légitimer le choix des lieux de culte comme angle d'analyse privilégié pour la nécessaire prise en compte des dimensions spatiales des faits religieux. Cette réflexion nous amènera, dans un second temps, à préciser les définitions des territoires et mobilités du religieux, pour finalement défendre l'intérêt de leur mobilisation conjointe, en dépit de leur apparente contradiction, pour l'analyse du fait religieux en général et des lieux de culte en particulier.