“…Les premières études réalisées après leur commercialisation entre 1998 et 2001 chiffraient le risque de tuberculose à 24,4 cas pour 100 000 patients traités par anti-TNFα, comparativement à 6,2 cas chez les patients qui n'avaient pas reçu d'anti-TNFα [26]. Cependant, une évolution semble se dessiner depuis le dépistage systématique des tuberculoses latentes avant la mise en route d'un traitement : la fréquence des tuberculoses apparaît beaucoup moins importante avec une réduction des cas rapportés à 0,02 à 0,16 cas pour 100 patients par an [27]. Par ailleurs, il semble que le risque soit similaire quelle que soit la molécule anti-TNFα utilisée [28].…”