Seasonal changes in the efficiency of protein hydrolysate‐baited McPhail traps used to monitor adult populations of the olive fly. Dacus oleae (Gmel.), on Corfu were investigated from 1976–1979. The mean weekly trap‐catches of traps located on grids in 3 different parts of the island were compared with absolute population estimates of adult flies obtained from mark‐recapture studies at the same sites. Trap‐efficiency was then estimated by dividing the mean weekly trap‐catch values by the estimated number of flies per tree, ♂ ♂ and ♀ ♀ being dealt with separately.
For both sexes, trap‐efficiency was low during the winter months and then higher in spring and early summer, reaching a peak in late July/August, just after the new season's olive crop became susceptible to attack. However, earlier in the summer, when the fruit was unavailable or unsuitable for oviposition and when hot dry conditions inhibited ovarian maturation, trap‐efficiency was very variable and frequently fell to a low level similar to that found in winter.
Excluding the highly variable mid‐summer data, regression analysis indicated that over 85% of the variation in trap‐efficiency was attributable to differences in mean temperature during the trapping periods. Using the calculated regression relationship between mean temperature and trap‐efficiency, which was similar for both sexes, a model was developed which enables mean weekly trap‐catch data to be converted into absolute population estimates of adult flies.
RÉSUMÉ
Changements saisonniers dans l'efficacité des lQpièges de McPhailrQ; modèle pour estimer des densités de mouches de l'olive capturées aux pièges en utilisant les relevés de température
Les changements saisonniers dans l'efficacité des pièges de McPhail à l'hydrolysat de protéines ont été utilisés pour suivre les populations d'adultes de mouche de l'olive, Dacus oleae, à Corfou de 1976 à 1979. Les captures moyennes hebdomadaires de pièges quadrillant 3 parties différentes de l'ǐle ont été comparées estimations de la population absolue de mouches obtenues par capture‐recapture dans les měmes sites. L'efficacité par piège a été alors estimée en divisant la moyenne hebdomadaire de capture par le nombre estimé de mouches par arbre, les mǎles et les femelles étant traités séparément.
Pour les deux sexes, l'efficacité des pièges était faible pendant les mois d'hiver, et plus élevée au printemps et au début de l'été, avec un sommet fin juillet—aoǔt, juste après le début de la vulnérabilité des nouvelles olives. Cependant, plus tǒt dans l'été, quand les fruits sont indisponibles ou ne permettent pas la ponte et quand la chaleur inhibe la maturation ovarienne, l'efficacité des pièges était très variable et était fréquemment tombée à un niveau voisin de celui observé en hiver.
En dehors des données très variables du milieu de l'été, l'analyse de la régression a montré que plus de 85% de la variation de l'efficacité des pièges était due à des différences de température moyenne pendant les périodes de piégag...