Je dédie cette thèse à Denis, à sa grande générosité et à son élégance. Il a eu la curiosité de se pencher sur le féminisme et les études genre, des domaines dont il n'était pas familier. Je lui suis reconnaissante pour la confiance qu'il m'a accordée sur un objet d'étude déconcertant par certains aspects, ainsi que pour le climat de travail agréable qu'il a contribué à créer autour de cette thèse. J'ai perdu en cours de chemin un directeur de thèse. Mes pensées vont ainsi à ses proches, et notamment à Nadine.Mes chaleureux remerciements vont au professeur Thierry Herman, directeur de thèse, qui m'a accueillie comme doctorante sans direction avec beaucoup de générosité et d'ouverture. Il a su être encourageant, faire preuve de patience et relativiser les moments difficiles par des métaphores montagnardes qu'il n'aurait pas pu mieux choisir. J'adresse mes remerciements à Hélène, co-directrice de thèse. Elle m'a aidée à persévérer dans cette recherche malgré mon emploi du temps bien occupé par des tâches professionnelles et parentales, et elle a été ma guide à plusieurs niveaux. J'ai eu la chance de la côtoyer sur d'autres projets, lors desquels j'ai appris énormément en matière de recherche, d'écriture, mais aussi sur des aspects plus relationnels.Je remercie également les membres de mon jury de thèse, Stéphanie Pahud et Alaric Kohler, pour leurs précieuses remarques dans la finalisation de ce travail. Leurs compétences en logique naturelle, en études genre, en pédagogie et en analyse de discours m'ont notamment amenée à expliciter davantage mon appartenance au champ de la logique naturelle et à renforcer ma posture réflexive.Mes remerciements sincères vont également à la personne qui a été mon alliée à bien des égards durant toutes ces années, Blaise, qui m'a relue presque toujours et qui a pris le relais auprès de nos enfants quand il le pouvait. Et donc, j'en viens également à remercier Sevan et Corentin, nos deux enfants incroyables, qui m'apportent au quotidien tant de joies et défis, qui emploient le mot « déconstruction » depuis leur petite enfance et qui mettent en question tant d'« évidences ». Mes remerciements vont aussi à toutes les personnes qui ont pris soin de nos enfants pendant cette longue période de thèse. Je pense à leurs grands-parents, à leurs marraines, mais aussi aux éducatrices, aux enseignant•es, aux baby-sitters, aux stagiaires.