“…Le seuil de castration (nadir) a été corrélé au temps de survie sans progression du PSA, et au temps de survie sans résistance à la castration [10,37]. Dans une étude récente portant sur 153 patients, une castration optimale au dessous du seuil de 0,2 ng/mL était également un facteur protecteur concernant la mortalité globale, avec un Hazard Ratio à 0,19, dans une population d'étude mêlant patients métastatiques et patients en récidive biologique [38].…”