Social representations of wine and culture: A comparison between France and New Zealand

Structural approach of social representation: Application to the concept of wine minerality in experts and consumers

“…Lo Monaco & Guimelli, 2008), consumption practice, variations in position-taking in different normative contexts (Lo Monaco & Guimelli, 2011), wine consumption and social construction of normality (Lo Monaco, Gaussot, & Guimelli, 2009), wine marketing application(Guimelli, Brel, Piermattéo, & Lo Monaco, 2012) and cultural environment(Mouret, Lo Monaco, Urdapilleta, & Parr, 2013) seem to be critical for the construction of wine social representations.…”

Perception of mineral character in Sauvignon blanc wine: inter-individual differences

“…Sensory data demonstrate both cultural similarities and cultural differences in the mental construct mineral as applied to Sauvignon blanc wine. Despite some quantitative differences across cultures in judgment of mineral intensity in the Sauvignon wines, there was relative consistency of sensory responding across the two diverse cultural groups, diverse in terms of wine histories, beliefs and behaviors toward wine, 5 and current styles of Sauvignon blanc production. 6 This result supports the notion of an agreed sensory experience that gives rise to development of a mental representation that wine tasters label as mineral.…”

Représentations sociales de la personne obèse et de l’obésité : effets de la situation de contact

“…Dans un deuxième temps, les probabilités associées 7 à la loi binomiale ont permis de choisir un seuil de production des mots au-delà duquel les mots produits ont été conservés, pour faire l'objet de l'analyse (Galand & Salès-Wuillemin, 2009 ;Mouret, Lo Monaco, Urdapilleta, & Parr, 2013 ;Salès-Wuillemin, Castel, & Lacassagne, 2002). La loi binomiale tient compte du nombre de participantes, du nombre maximum de mots cités par les participantes et du nombre de mots différents, cités lors de la tâche d'associations.…”

“…Afin d'identifier si les réponses associatives ou le croisement des variables indépendantes contribuaient à la formation des facteurs, nous avons utilisé la contribution par facteur (CPF ; Deschamps, 2003 ; utilisée dans des études récentes, Lo Monaco & Guimelli, 2008 ;Mouret et al, 2013 ;Piermattéo, Lo Monaco, Moreau, Girandola, & Tavani, 2014). Si une réponse associative ou un croisement des variables indépendantes contribue à la construction d'un facteur, son CPF doit être plus haut que le CPF moyen (soit 0,25 pour les variables et 0,04 pour les réponses associatives).…”