“…Ceux-ci ont démontré que les pauvres étaient susceptibles de vivre un plus grand nombre d'événements tragiques (mort d'un proche, maladie, accidents, séparation et divorce, perte d'emploi, etc.) (Dohrenwend et Dohrenwend, 1969, 1978et 1981Dohrenwend et Egris, 1981). L'enquête Santé-Québec corrobore ces résultats (Brunelle et Tremblay, 1988).…”