“…La faible fréquence de ces bactéries dans le sol a été expliquée par l'influence de certains facteurs, comme la faible disponibilité des nutriments (surtout lors de la récolte et 0,29 0,09 0,12 0,87 0,27 0,36 0,31 0,14 0,15 1,1 0,46 0,38 0,29 0,1 0,12 0,88 0,36 0,38 0,29 0,14 0,1 1,1 0,42 0,3 0,28 0,09 0,12 1,33 0,3 0,36 0,3 0,09 0,1 1,1 0,32 0,3 0,32 0,12 0,12 0,96 0,34 0,36 0,34 0,14 0,15 1,02 0,42 0,3 0,3 0,09 0,12 0,96 0,27 0,36 0,28 0,08 0,11 1,07 0,24 0,33 0,32 0,13 0,14 1,19 0,39 0,36 0,3 0,14 0,15 0,96 0,42 0,39 des rotations), la température et l'humidité (Pérombelon & Hyman, 1989). Cependant ceci n'exclut pas l'éventualité de leur persistance dans ce milieu hostile (McCarter-Zorner et al, 1985) ni l'importance du sol dans la transmission puisque ce dernier véhicule des souches qui peuvent infecter les tubercules de pomme de terre. Ces souches présentes dans le sol sont capables de provoquer la pourriture molle sur la pomme de terre.…”