We evaluated effects of stocking level and size-at-release on survival rates of hatchery-reared juvenile white sturgeon (Acipenser transmontanus) in the Kootenai River using Cormack-Jolly-Seber and related models implemented in Program MARK. A total of 119 768 marked and unmarked hatchery juveniles were released from 1992 to 2006, of which 2938 passive integrated transponder (PIT)-tagged fish were subsequently recaptured. Annual survival rates of marked groups ranged from 0.01 to 0.84 (mean = 0.45) during the first year at large, from 0.48 to 1.0 (mean = 0.84) in the second year, and averaged 1.0 during all subsequent years. First year survival rates declined substantially in recent years, particularly for small fish (<25 cm fork length). Approximately 59% of the variation in first year survival was explained by a negative relationship with estimated juvenile abundance (linear regression, P < 0.01). Length-at-release of individuals explained a substantial proportion of the within-year variation in survival during the first year at large. Our results provide strong evidence of density-and size-dependent mortality in hatchery-reared juvenile white sturgeon in the Kootenai River. Management actions that prioritize the release of fewer, larger-sized fish will likely improve first year survival rates and subsequent recruitment to the spawning-age population.Résumé : Nous évaluons les effets de l'intensité de l'empoissonnement et de la taille à la libération sur les taux de survie de jeunes esturgeons blancs (Acipenser transmontanus) de pisciculture dans la Kootenai à l'aide du modèle CormackJolly-Seber et de modèles apparentés utilisés dans le logiciel MARK. Un total de 119 768 jeunes de pisciculture marqués et non marqués ont été libérés de 1992 à 2006, dont 2 938 poissons porteurs d'étiquette PIT (à transpondeur intégré passif) ont été recapturés plus tard. Les taux de survie des groupes marqués variaient de 0,01-0,84 (moyenne = 0,45) durant la première année en liberté, de 0,48-1,0 (moyenne = 0,84) la seconde année et en moyenne de 1,0 durant toutes les années subséquentes. Les taux de survie durant la première année ont diminué considérablement au cours des dernières années, particulièrement chez les petits poissons (longueur à la fourche < 25 cm). Environ 59 % de la variation de la survie pendant la première année s'explique par une relation négative avec l'abondance estimée des jeunes (régression linéaire, P < 0,01). La longueur des individus à la libération explique une partie importante de la variation intra-annuelle dans la survie durant la première année de liberté. Nos résultats apportent de fortes indications de l'existence d'une mortalité reliée à la densité et à la taille chez les jeunes esturgeons blancs de pisciculture dans la Kootenai. Des activités de gestion qui favoriseraient la libération d'un nombre moins important de poissons de plus grande taille augmenteraient vraisemblablement les taux de survie pendant la première année et le recrutement subséquent dans la population en âge de frayer.[Tradui...