“…Ainsi ce travail s'inscrit pleinement dans la ligne de pensée des chercheurs qui se sont attachés à tenter d'évaluer le rôle des facteurs culturels dans l'évolution biologique de l'homme (Kluckhohn et Griffith, 1950 ;Benoist, 1966Benoist, , 1968Thompson, 1967). En comprenant le mot culture dans son sens le plus large, en ne le limitant pas aux seules réponses technologiques apportées par l'homme au problème de sa survie face aux contraintes des milieux les plus divers, mais en l'étendant aux dimensions les plus élevées qu'il a données à sa vie, des modes d'intégration sociale aux préoccupations métaphysiques, il faut y voir un souci d'interprétation plus totale de la réalité de l'évolution actuelle de l'espèce et en même temps un effort d'unification de la discipline anthropologique, étude du phénomène humain considéré comme un tout insécable, très caractéristique de l'école nord-américaine.…”