“…), la difficulté de faire son parcours universitaire tout en travaillant à l'hôpital, ou encore le manque de soutien de la part des médecins 15,16 . Quant aux médecins seniors hospitaliers, les prévalences des troubles anxieux pouvaient atteindre 14 %, celle des troubles de l'humeur 48 % 13,14 . Les principaux facteurs de risque mis en évidence dans la littérature étaient la charge et les horaires de travail, le conflit entre la vie professionnelle et la vie familiale, ainsi que le manque de respect (voire la violence) de la part des patients.…”