“…Grothendieck's new intuition was that the whole philosophy of motives is regulated by the theory of (algebraic) correspondences: "...J'appelle motif sur k quelque chose comme un groupe de cohomologie ℓadique d'un schema algébrique sur k, mais considérée comme indépendant de ℓ, et avec sa structure entière, ou disons pour l'instant sur Q, déduite de la théorie des cycles algébriques..." (cf. [15], Lettre 16.8.1964).…”