“…Cette qualité esthétique (Strati, 2000), apanage de la post-modernité, fait du récit une pratique de recherche et d'intervention qui relie et réconcilie le rationnel et le sensible, sans pour autant limiter son inscription dans un seul paradigme. En effet, en fonction de sa finalité, des enjeux vécus par les acteurs à l'origine du récit et de la posture épistémologique du chercheur, le récit peut informer sur les relations de pouvoir, les questions de genre, les représentations ou encore le processus d'organisation (Giroux dans Soulier, 2006).…”