Wu and Sprung (Phys. Rev. E, 48, 2595 (1993)) reproduced the first 500 nontrivial Riemann zeros, using a one-dimensional local potential model. They concluded -as did van Zyl and Hutchinson (Phys. Rev. E, 67, 066211 (2003)) -that the potential possesses a fractal structure of dimension d = 3/2. We model the nonsmooth fluctuating part of the potential by the alternating-sign sine series fractal of Berry and Lewis A(x, γ ). Setting d = 3/2, we estimate the frequency parameter (γ ), plus an overall scaling parameter (σ ) that we introduce. We search for that pair of parameters (γ, σ ) that minimizes the least-squares fit S n (γ , σ ) of the lowest n eigenvalues -obtained by solving the one-dimensional stationary (nonfractal) Schrödinger equation with the trial potential (smooth plus nonsmooth parts) -to the lowest n Riemann zeros for n = 25. For the additional cases, we study, n = 50 and 75, we simply set σ = 1. The fits obtained are compared to those found by using just the smooth part of the Wu-Sprung potential without any fractal supplementation. Some limited improvement -5.7261 versus 6.392 07 (n = 25), 11.2672 versus 11.7002 (n = 50), and 16.3119 versus 16.6809 (n = 75) -is found in our (nonoptimized, computationally bound) search procedures. The improvements are relatively strong in the vicinities of γ = 3 and (its square) 9. Further, we extend the Wu-Sprung semiclassical framework to include higher order corrections from the Riemann-von Mangoldt formula (beyond the leading, dominant term) into the smooth potential. (2003)) -que le potentiel possède une structure fractale de dimension d = 3/2. Nous modélisons la partie de ce potentiel qui n'est pas douce à l'aide de la série sine fractale à signe alterné de Berry et Lewis A(x, y). Fixant d = 3/2, nous estimons le paramètre de fréquence (γ ), en plus d'un paramètre global d'échelle (σ ) que nous introduisons. Nous recherchons la paire de paramètres (γ , σ ) qui minimise l'ajustement en moindres carrés S n (γ , σ ) des n plus basses valeurs propresobtenues en solutionnant l'équation de Schrodinger stationnaire non fractale à une dimension avec le potentiel d'essai (parties douce et non douce) -aux n plus bas zéros de Riemann pour n = 25. Nous étudions aussi les cas n = 50 et 75, avec σ = 1. Les résultats obtenus sont comparés à ceux obtenus en utilisant seulement la partie douce du potentiel de WuSprung sans aucun ajout fractal. Nous observons une certaine amélioration -5,7261 versus 6,392 07 (n = 25), 11,2672 versus 11,7002 (n = 50) et 16,3119 versus 16,6809 (n = 75) (dans notre recherche qui n'est pas optimisée et a des limites de calcul). Les améliorations sont relativement importantes au voisinage de γ = 3 et 9 (son carré). De plus, nous avons étendu le cadre de l'approche semi-classique de Wu-Sprung pour inclure des corrections
PACS