This study examines the connection between intimate partner violence (IPV) and Human Immunodeficiency Virus status among married and cohabitating women in Zimbabwe using an African feminist framework. Stata 13.0 was used to analyze data from the 2010-2011 Zimbabwe Demographic and Health Survey, which used a national probability sample of households in the country of Zimbabwe. This study used logistic regression to analyze the 2,830 ever-married or cohabitating women who also answered the violence and spousal traits questionnaire as well as provided blood samples.
RésuméCette étude examine le lien entre la violence conjugale (VPI) et le statut VIH chez les femmes zimbabwéennes mariées et les femmes qui vivent maritalement en utilisant un cadre féministe africain. Stata 13.0 a été utilisé pour analyser les données de l'enquête démographique et de santé du Zimbabwe 2010-2011, qui a utilisé un échantillon aléatoire national de ménages dans le pays du Zimbabwe. Cette étude a utilisé la régression logistique pour analyser les 2 830 femmes déjà mariées ou qui vivent maritalement ont également répondu au questionnaire sur la violence et les traits conjugaux, ainsi que des échantillons de sang. La régression logistique a révélé que les femmes qui avaient subi de la violence (odds ratio = 1,29, IC [1,00, 1,67]) ou des fractures (odds ratio = 2,39, IC [1,19,4,77]) étaient plus susceptibles d'être séropositives; tandis que ceux avec des contusions (odds ratio = -.64 CI [.41, .99]) étaient moins susceptibles. Les femmes avec des partenaires qui sont des suiveurs (odds ratio = 1,28, IC [1,04, 1,59]) étaient plus susceptibles d'être séropositifs. La culture patriarcale et hypermasculiste, démontrée par la violence, contribue à la probabilité du VIH chez les femmes et les partenaires. Un changement culturel au plus haut niveau sera nécessaire pour prévenir le VPI et réduire la propagation du VIH. (Afr J Reprod Health 2017; 21[4]: 45-54).