“…Le contrôle social de l'inversion sexuelle de diverses espèces (tropicales) d'hermaphrodites successifs est maintenant établi (Moyer et Nakazono, 1978 ;Fricke, 1979 ;Bruce, 1980), bien que les interactions sociales soient subtiles et le mode d'action des stimuli exogènes (phéromones ?) encore ignoré (Reinboth, 1980 (Yoshikawa et Oguri, 1978), soit une masculinisation des femelles (Nakamura, 1975 Yamamoto, 1953Yamamoto, , 1958Hishida, 1962Hishida, , 1964 Kawamoto, 1970 ; Satoh et Egami, 1973 ;Tilapia : Clemens et Inslee, 1968 ;Guerrero, 1975 ;Carassius : Yamamoto et Kajishima, 1968 ; Xiphophorus : Vallowe, 1957 ;Poecilia : Dzwillo, 1966 ;Takahashi, 1975a et (Takahashi, 1974, chez (Muller, 1969 ;Hackmann, 1974 chez Hemihaplochromis ; Hackmann, 1974, chez Cich l asomal, soit enfin en une féminisation de ces mêmes mâles chez Tilapia ; (Nakamura, 1975), chez divers Cichlidés (Hackmann, 1974 ;Hackmann et Reinboth, 1974) Spira, 1965, Yoshikawa et Oguri, 1978Berkowitz, 1941, Miyamori, 1964 Poecilia ;Padoa, 1937Padoa, , 1939Okada, 1973, chez Salmo). Ils provoquent également un début d'inversion sexuelle par induction d'une ovogenèse après dégénérescence des cellules mâles chez Oryzias (Yamamoto et Matsuda, 1963 ;…”