2010
DOI: 10.1002/jts.20505
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The impact of criminal justice involvement on victims' mental health

Abstract: The aftermath of violent crime can leave victims with persistent emotional and mental health problems. Although research has shown the potential benefits of prosecuting cases through the courts, there is also a substantial literature that suggests that common features of the criminal justice system can exacerbate the impact of the initial crime, leading to a secondary victimization. The authors present a review of the research on the positive and negative impact of criminal justice involvement, and common poin… Show more

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“…The experience of engaging with the justice system can differ markedly. It can improve victims' mental health (see for example, Wexler's (1993) discussion of 'therapeutic jurisprudence') or indeed intensify their distress (see for example, Parsons and Bergin's (2010) review of 'secondary victimisation'). A common approach to analysing victim experiences is to compare process and outcome.…”
Section: Literature Reviewmentioning
confidence: 99%
“…The experience of engaging with the justice system can differ markedly. It can improve victims' mental health (see for example, Wexler's (1993) discussion of 'therapeutic jurisprudence') or indeed intensify their distress (see for example, Parsons and Bergin's (2010) review of 'secondary victimisation'). A common approach to analysing victim experiences is to compare process and outcome.…”
Section: Literature Reviewmentioning
confidence: 99%
“…Pour leur part, les atteintes psychologiques et les problèmes de santé mentale comprennent : l'augmentation de la détresse psychologique, l'apparition de comportements suicidaires ainsi que des pertes cognitives, notamment celles qui concernent la mémoire (Bradley et al, 2009;Bremner & Sparr, 2005;Dutton et al, 2005;Parsons & Bergin, 2010). Enfin, les conséquences sociales affectant la vie des victimes réfèrent à une diminution de la qualité de vie, à une augmentation de la consommation d'alcool et de drogues ainsi qu'au développement d'un désir de vengeance (Bradley et al, 2009;Cares, Hoskins, & Ruback, 2008;Maercker, Montada, & Orth, 2006;Parsons & Bergin, 2010 , 2011, p. 215). Il est important de préciser que si la durée des symptômes est moins de trois mois, l'ESPT sera qualifié d'aigu, alors que si ceux-ci perdurent au-delà de trois mois, l'ESPT sera considéré comme étant chronique (APA, 2011).…”
Section: Les Conséquences Des Crimes Violents Chez Les Victimesunclassified
“…Enfin, les conséquences sociales affectant la vie des victimes réfèrent à une diminution de la qualité de vie, à une augmentation de la consommation d'alcool et de drogues ainsi qu'au développement d'un désir de vengeance (Bradley et al, 2009;Cares, Hoskins, & Ruback, 2008;Maercker, professionnels soulignent que cette clientèle présente fréquemment des troubles mentaux (TM). À cet égard, la dépression et l'état de stress post-traumatique (ESPT) arrivent en tête des troubles diagnostiqués chez les victimes de crimes violents (Bailey, Koss, & Yuan, 2003;Blizzard, Kemppainen, & Taylor, 2009;Bremner & Sparr, 2005;Dutton et al, 2000;Maercker et al, 2006;Parsons & Bergin, 2010;Statistique Canada, 2001). En effet, la dépression est un problème de santé fréquemment rencontré chez les victimes, affectant plusieurs sphères de leur vie.…”
Section: Les Conséquences Des Crimes Violents Chez Les Victimesunclassified
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