“…Rappelant que son fondateur était chrétien et croyant, citant ses écrits sur le non-empiètement de la science sur la religion, il réafÏrme que la métaphysique ne peut se réduire à la physique. Dans le conflit qui oppose alors matérialistes et néo-vitalistes à propos de savoir si le vivant est soumis à d'autres forces que la matière inanimée, le chroniqueur assume une nouvelle fois la position médiane (Aubin, 2008). Dans le doute, il est impossible d'être afÏrmatif, dit-il, mais du même soufÒe, fait-il remarquer, on n'a pas besoin de la position vitaliste pour afÏrmer sa foi dans le divin, que la loi de la gravitation universelle n'est pas moins mystérieuse que la vie et la mort des êtres humains et que « ce qu'il y a de divin dans l'Univers, c'est précisément que son harmonie soit gouvernée par des lois immuables, universelles et ne souffrant pas d'exception » (Nordmann, 1913f, p. 708).…”