“…D'autres chercheurs se sont intéressés aux unités phonologiques plus grandes que le phonème, la syllabe par exemple. Une seconde série d'études plaident en faveur de la syllabe comme unité de lecture et ont montré que les procédures graphosyllabiques sont liées, dans certaineś etudes, aux habiletés en lecture (Colé, Magnan, & Grainger, 1999;Doignon & Zagar, 2006;Duncan & Seymour, 2003;Ferrand, Segui, & Grainger, 1996;Maïonchi-Pino, Magnan, &Écalle, 2010;Prinzmetal, Hoffman, & Vest, 1991;Prinzmetal, Treiman, & Rho, 1986;Sprenger-Charolles & Siegel, 1997;Taft & Radeau, 1995). Ayant eu recoursà divers protocoles méthodologiques, cesétudes ont montré, entre autres, qu'il est plus facile de lire un mot formé de moins de syllabes qu'un mot de plus de syllabes, le nombre de lettreś etantégal, ou qu'il est plus facile d'identifier la couleur d'une lettre lorsque la lettre est de la même couleur que les autres lettres de la syllabe.…”