Dans son analyse des rapports entre les trois parties des Angoysses douloureuses et les Epistres familieres et invectives d'Hélisenne de Crenne, Martine Debaisieux indique le jeu des contradictions qu'entraîne le phénomène de répétition et de continuation exploité par l'auteure. En examinant le réseau de « subtiles inventions » et d'« artificieles mensonges » constitutifs de l'uvre, son analyse vise indirectement à faire ressortir les problèmes de lecture et d'interprétation impliqués dans cette fiction féminine qui refuse de fixer le sens.