“…Les travaux sur la conciliation de la vie professionnelle et de la vie personnelle (CARLSON et PERREWÉ, 1999 ;GALINSKY, 2001 ;GALINSKY, BOND et FRIEDMAN, 1996 ;GERSON et JACOBS, 2001 ;GLASS et ESTES, 1997 ;HOLT et THAULOW, 1996 ;LEE et DUXBURY, 1998 ;ST-ONGE, HAINES et SEVIN, 2000) insistent sur le rôle d'agent facilitant du supérieur immédiat dans ces négociations, élément essentiel d'un environnement de travail « famiphile » (THOMAS et GANSTER, 1995). Acteur incontournable dans le traitement des demandes touchant cette conciliation, le supérieur immédiat peut la soutenir de deux façons : apporter un soutien affectif, une oreille attentive et compréhensive aux problèmes des employés, d'une part, et offrir un soutien instrumental tout en posant des actions qui aident concrètement l'employé, comme autoriser des jours de congé, du travail à temps partiel ou à domicile de façon ponctuelle, d'autre part (FRIEDMAN, CHRISTENSEN et DEGROOT, 1998 ;KICKUL et POSIG, 2001 ;ST-ONGE, HAINES et SEVIN, 2000 ;THOMAS et GANSTER, 1995).…”