South African new reproductive health policies have given weight to dual protection as a public health intervention against unintended pregnancies and sexually transmitted infections. However, studies of dual protection have remained scanty and under researched in South Africa. This situation has left the reproductive health policy makers clueless about salient strategies to promote dual contraceptive method use. A survey of 568 women in steady relationships aged 15-49 was conducted in Mahikeng Municipality. Using multivariate logistic regression independent predictors of contraceptive method use were examined and presented as odds ratio and 95% confidence intervals. Sixteen percent of the women were currently protecting against both unintended pregnancies and infectious diseases while 40% were protecting against unintended pregnancies only. Age, occupation, ever discussed condom use with partner; home language and religion were the independent predictors of dual method use. Non-barrier method use was associated with age, home language, religion, and duration of union. The study concludes that educative and enlightening programs that emphasize women's employment and communication about condom use may be specifically helpful in promoting dual method use. (Afr J Reprod Health 2017; 21[1]:64-72).Keywords: Dual protection, contraception, women, Mafikeng, condom, non-barrier method, sexually transmitted infections
RésuméLes nouvelles politiques de santé de la reproduction en Afrique du Sud ont porté l'accent sur la double protection en tant qu'intervention de santé publique contre les grossesses non désirées et les infections sexuellement transmissibles. Toutefois, les études sur la double protection sont restées insuffisantes et ont fait l'objet de recherches en Afrique du Sud. Cette situation a laissé les décideurs en matière de santé reproductive ignorants de la stratégie saillante pour promouvoir l'utilisation de la double méthode contraceptive. Une enquête auprès de 568 femmes dans des relations régulières, âgées de 15 à 49 ans, a été menée dans la municipalité de Mahikeng. À l'aide de la régression logistique multivariée, des indices indépendants de l'utilisation de méthodes contraceptives ont été examinés et présentés comme rapport de cote et 95% d'intervalle de confiance. Seize pour cent des femmes protégeaient actuellement contre les grossesses non désirées et les maladies infectieuses, tandis que 40% protégeaient contre les grossesses non désirées. L'âge, l'occupation, si l'on a jamais discuté l'utilisation du préservatif avec un partenaire; langue parlée dans le foyer et la religion, étaient les indices indépendants de l'utilisation de deux méthodes. L'utilisation de la méthode non-barrière était associée à l'âge, à la langue parlée au foyer, à la religion et à la durée de l'union. L'étude conclut que les programmes éducatifs et éclairés qui mettent l'accent sur l'emploi et la communication des femmes sur l'utilisation du préservatif peuvent être particulièrement utiles pour promouvoir l'utilisatio...