________________________________________________________________This is a commentary on a series of papers presented in the Imperial Intersections: archaeologists, war and violence session at the 2007 Annual Meeting of the Society for American Archaeology. The session addressed issues surrounding archaeology, war and violence and the ethical responsibilities of archaeological practitioners. The papers in this volume have created more questions than answers, but as with all ethical scenarios, I was inspired to think and to examine critically aspects of archaeology that may have eluded past contemplation. In attempting to find commonalities and themes in the submissions I realized that almost every paper is concerned with the production of knowledge-how much access should there be; who should have access to knowledge; how should knowledge be disseminated; and when and if the knowledge should be reproduced. The central debate of ''in whose best interest is this knowledge produced'' is also explored in this review? ________________________________________________________________ Résumé: Ce qui suit est un commentaire portant sur plusieurs articles présentés par les recoupements impériaux: la session sur les archéologues, la guerre et la violence tenue en 2007 à l'Annual Meeting of the Society for American Archaeology (rencontre annuelle de la société se consacrée à l'archéologie américaine). La session s'est concentrée sur les problèmes d'archéologie, de guerre et de violence et les responsabilités éthiques des praticiens archéologiques. Les articles de ce volume ont soulevé davantage de questions que de réponses, mais a considéré tous les scénarios éthiques. J'ai été pour ma part amené à penser et à examiner de façon critique des aspects de l'archéologie qui peuvent avoir échappé par le passé. En tentant de trouver des similitudes et des thèmes soumis j'ai réalisé que presque tous les articles se sont focalisés sur la production de la connaissance-quel degré d'accès devait être déployé; comment cette connaissance devrait-elle être disséminée; et à la fois quand et si cette connaissance devait être reproduite. Le débat central de « qui aurait le plus grand intérêt à accéder à cette connaissance » est également explosé dans cette interview.
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