Plant diseases not found in many other parts of the world can be found in Africa. These diseases severely hinder crop production, potentially resulting in a lack of food security. Many of the disease problems are amenable to both classical and modern breeding solutions. However, some are challenging diseases that require the use of genetic modification. This paper discusses some of the diseases whereby genetically modified crops (GMO) can provide a solution. They include maize resistant to the endemic African Maize streak virus, cassava resistant to Cassava mosaic virus, and bananas resistant to bacterial wilt. In addition, other traits of value to farmers in Africa may include maize resistant to insects, post-harvest fungi and to weeds, drought tolerant maize, and vitamin-enriched crops. Consideration is given to some of the concerns preventing governments from approving the commercialization of these crops, including food and safety issues. Résumé : Les maladies des plantes absentes de plusieurs régions de la planète peuvent être trouvées en Afrique. Ces maladies entravent sérieusement la production des cultures, ce qui engendre une possible insécurité alimentaire. Plusieurs des problèmes liés aux maladies découlent des méthodes classiques et modernes de sélection. Toutefois, les défis que posent certaines maladies nécessitent de recourir aux modifications génétiques. Cet article traite de quelques-unes des maladies dont les plantes hôtes bénéficieraient des solutions qu'offrent les organismes génétiquement modifiés (OGM). Elles incluent un maïs résistant au virus de la striure du maïs, endémique à l'Afrique, un manioc résistant au virus de la mosaïque du manioc et des bananes Downloaded by [University of Western Ontario] at 09:13 12 April 2015A c c e p t e d M a n u s c r i p t J.A. Thomson. Genetically modified crops in Africa 3 résistantes à la flétrissure bactérienne. De plus, d'autres caractères importants pour les agriculteurs africains pourraient inclure, dans le cas du maïs, la résistance aux insectes, aux champignons d'après récolte et aux mauvaises herbes, la tolérance à la sécheresse et, plus généralement, l'enrichissement des cultures en vitamines. Il y est également question de certaines préoccupations qui empêchent les gouvernements d'approuver la commercialisation de ces cultures, y compris celles relatives à la sûreté et à la sécurité alimentaires.