“…Depuis la généralisation des traitements, le taux de mortalité des IIP reste élevé, évalué à 25 % environ [1,9]. De façon paradoxale, il semblerait même qu'il soit relativement plus élevé qu'avant les trithérapies, probablement parce que les patients VIH+ présentant des IIP souffrent actuellement plus souvent de comorbidités, et notamment de cirrhose, que les patients présentant des IIP dans la période pré-ART [18].…”