Tuberculous chylous ascites: pathognomonic CT findings

Abstract

The computed tomographic (CT) appearance of chylous ascites is usually that of water with corresponding attenuation coefficients. This case report depicts the fat-fluid level sign on CT (shown by supine and decubitus scans), which is pathognomonic of chylous ascites.

Chylous ascites: Analysis of 24 patients

“…Occasionally, a pathognomonic CT finding of chylous ascites could be encountered termed the fat-fluid level sign [2,8]. Bipedal lymphangiography and lymphoscintigraphy are the imaging modalities used for diagnosis, and they have the advantage to localize the site of lymphatic leakage and so may facilitate surgical repair [9].…”

Une ascite chyleuse au décours d’une exérèse d’une tumeur vulvaire : un piège

“…La localisation abdominale est assez souvent rencontrée et la manifestation habituelle est l'ascite jaune citrin riche en lymphocytes et en protides. L'ascite chyleuse est généralement considérée comme rare [4].…”

“…L'aspect échographique chez la patiente est comparable aux données de la littérature sur la tuberculose péritonéale [4,6,[7][8]. Certains auteurs ont également rapporté un liquide échogène au cours de l'ascite chyleuse [4,6].…”

“…L'ascite chyleuse est secondaire à une obstruction des voies lymphatiques abdominales par un lymphome, un traumatisme, une chirurgie, une lymphangiectasie, et aussi une tuberculose ou une filariose en milieu tropical [4]. Le piège dans notre cas devant l'ascite, les adénopathies et les nodosités sous-cutanées, survenues au décours d'une chirurgie pour une tumeur vulvaire, serait de penser à une généralisation d'un processus malin.…”

“…Cependant, le diagnostic de la tuberculose dans ce contexte est rapporté par l'histologie d'un ganglion et l'évolution favorable par le traitement spécifique. L'ascite chyleuse peut dans certains cas être observée au cours d'une tuberculose péritonéale mais chez notre malade, elle était certainement la conséquence d'une compression des voies lymphatiques par les adénopathies [4].…”