Utilizing data from 100 percent store‐by‐store surveys of five local communities undertaken by student interns during July in 1995 and 1997, the commercial structures of five non‐metropolitan centres in Ontario – Sturgeon Falls, Port Hope, Collingwood, Cobourg, and Sault Ste. Marie — are established and compared. The surveys include information related to store type, space, specific location, and employment. Trends in vacancy rates for the major components of the commercial structure (downtowns, shopping centres/plazas, arterial strips, and freestanding locations) in each community are established and discussed in the context of changes in: (1) demand, that is, market size as reflected by population and gross income; and, (2) supply, that is, competition generated internally from new commercial elements established locally, or externally from the more attractive commercial facilities in larger metropolitan centres. While vacancy rates indicate a degree of over‐storing they vary considerably. In general, the downtowns in these communities are not dead, and it is shopping centres/plazas that are suffering the most from internal and external competitive supply‐side pressures.
On a établi et comparé la structure commerciale de cinq centres non métropolitains de l'Ontario – Sturgeon Falls, Port Hope, Collingwood, Cobourg et Sault‐Sainte‐Marie – et ce à partir de donnees tirees de sondages effectués auprès de tous les magasins des cinq villes par des étudiants en juillet 1995 et 1997. L'information ainsi recueillie portait sur le genre de magasin, l'espace, l'emplacement et la main‐d'oeuvre. On a indentifié les tendances dans les taux d'inoccupation des composantes majeures de la structure commerciale (centres‐villes, centres commerciaux, voies à grande circulation, emplacements autonomes), dans le contexte de modifications dans: (1) la demande, soit la taille du marché selon sa population et le revenu brut, et (2) l'offre, soit la concurrence produite à l'interne par de nouveaux éléments établis localement, ou encore a l'externe par les installations commerciales plus attrayantes des grands centres métropolitains. Si les taux d'inoccupation reflètent un certain excédent dans le nombre de magasins, ils varient considérablement. En général, les centres‐villes de ces communautés ne sont pas inertes, et ce sont les centres commerciaux qui souffrent le plus des pressions concurrentielles internes et externes provenant de l'offre.