Über den Bau und die Funktion der Speicheldrüsen bei den Gastropoden

The Morphology of the Nudibranchiate Mollusc Melibe (syn. Chioraera) leonina (Gould)

“…At the same time the micromeres of the vacuolated cytoplasm of the cell increase in size.That the nucleus takes a very active part in the formation of the mucinous substance is clearly evident, Imt the micromeres of the cytoplasm seem also to take an active part in the refilling of the cell as indicated by the growth of the micromeres formed in the meshes of the reticular network of the cytoplasm before the nucleus has assumed its normal conditionrefilling, the nucleus is intermediate in size and granulation to those described under (B). It is of interest to note some of the findings ofLange (1902) from his studies of the structure and function of the ' Speicheldrlisen ' of gasteropods. This author found that the cells of the glands showed great differences during feeding as compared with periods of starvation.…”

Les glandes salivaires de l'escargot (Helix pomatia L.). Anatomie-physiologie. Contribution à l'histo-physiologie glandulaire, avec figures dans le texte ...

“…A. Lange (1902), dans un long mémoire sur la structure et les fonctions des glandes salivaires des Gastéropodes, étudie d'une façon très approfondie la constitution histologique de ces glandes; c'est assurément, avec R. Monti, l'auteur qui a le mieux observé et décrit jusqu'ici les cellules glandulaires de ces organes. Comme pour celui de Monti, nous aurons bien des fois à revenir sur son mémoire dans la partie originale du présent travail; aussi nous bornerons-nous à donner ici les conclusions auxquelles est arrivé Lange. Pour lui, les glandes salivaires des Gastéropodes pulmonés sont formées de glandules unicellulaires, comme tous les auteurs l'admettent depuisLeydig, mais parfois aussi de glandules pluricellulaires.…”

“…La comparaison des caractères et des affinités de ces différents grains, l'observation de grains tantôt réfringents, tantôt mats, c'est-à-dire à des états divers d'hydratation, dans les mailles mêmes du cytoplasme pariétal de la cellule cystique (qui a une structure vacuolaire tout à fait analogue à celle des alvéolaires), établissent avec certitude l'étroite parenté de ces cellules : aucun doute n'est possible quand on a vu, réunis dans une même cystique, des grains présentant toute la série des aspects intermédiaires entre les états extrêmes de condensation qui caractérisent le grain réfringent, non encore arrivé à maturité, et le grain mat en voie de dissolution, et quand, d'autre alvéolaire est souvent creusée d'une petite ampoule à contour arrondi, limitée par les alvéoles cytoplasmiques et communiquant avec la lumière excrétrice.Partant de ces données, voici comment nous expliquons la 1. C'est d'ailleurs l'observation de ces cellules cystiques (cellules à grande vacuole avec ou sans amas mùriforme) et la constatation de leur origine véritable qui nous ont amenés à conclure, il y a près d'un an, à l'existence de cellules à ferment capables d'émettre leur produit dans les canaux excréteurs.Les cellules granuleuses avaient en effet été décrites parLange (1902) comme des cellules cystiques. La cellule granuleuse devient cystique par rétention.…”