“…Par contre, leur taux de récidive est très bas, une seule décrite sur 25 cas par Eusebi et al avec 19 ans de suivi et aucune dans le groupe de l'EORTC, mais avec cinq ans de recul. Par consé-quent, l'intérêt de cette entité réside dans la possibilité qu'elle soit sentinelle d'un CIC de bas grade ou d'adé-nocarcinomes tubuleux, voire d'une HCA, notion qui explique les précautions apportées dans leur prise en charge thérapeutique [33,45,71,93,101,123,124,126]. L'étude rétrospective de De Mascarel [36,37] tend à démontrer que ces lésions seraient essentiellement un marqueur de risque.…”