“…Le présent projet vise justement à produire des recommandations qui combleront ce fossé. Selon Cheung et collègues (2013), lorsqu'il est question de cancers complexes, les médecins de première ligne ne possèdent peut-être pas les connaissances, la formation et l'expérience nécessaires pour gérer les problèmes et offrir des soins de suivi adéquats (notamment les examens de surveillance de la récidive), ce que confirment d'autres auteurs (Ackerman et al, 2014;Dawes et al, 2015;Del Guidice et al, 2009;Nissen et al, 2007;Salz et al, 2012). Toutefois, de nombreuses études réalisées au Canada et ailleurs dans le monde ont montré que le médecin de première ligne demeure le coordonnateur principal des soins pendant la période de survie et qu'il peut prodiguer efficacement les soins dans les cas de cancer à faible risque (Del Guidice et al, 2009;Mao et al, 2009;Grunfeld et al, 1995Grunfeld et al, , 1996Grunfeld et al, , 1999Grunfeld et al, , 2006Sisler, Brown et Stewart, 2004;Wattchow et al, 2006;Wood, 1993).…”