Which obese children should have a sleep study?

Abstract

If only obese children with reported apnoea, restless sleep or TH have a sleep study, 95% of all obese children with significant OSA will be identified using this method.

The relationship between school day sleep duration and body mass index in Norwegian children (aged 10–12)

“…It could be speculated that BMI values over a certain cut‐off value could negatively influence sleep duration. Many studies report impaired sleep quality and higher prevalence of sleep disorders in children with obesity (33), but these conditions seem to be more related to daytime sleepiness than to reduced sleep duration (34,35).…”

Risk factors and treatment for obstructive sleep apnea amongst obese children and adults

“…Studies [61,65,66] of Chinese children consistently report significant association between body mass and OSA, whereas the few studies [67][68][69] of white and Hispanic children suggest little or no association. A recent study [70] amongst a group of severely obese Bangladeshi, Afro-Caribbean and white children found ethnicity was not predictive of OSA and BMI within the morbidly obese range was not related to OSA severity. Combined, these findings suggest body mass may interact with ethnicity only up until a point, after which the impact of morbid obesity on pulmonary function supersedes any contribution related to ethnic variation.…”

Dépistage et prise en charge des anomalies respiratoires de l’enfant obèse : syndrome d’apnée obstructive du sommeil et syndrome d’obésité hypoventilation

“…Le SOH est méconnu en pédiatrie, décrit seulement sous forme de faits cliniques [29]. très spécifique mais peu sensible chez l'enfant [8,9,17]. L'oxymétrie nocturne doit surtout être couplée à un enregistrement de TcPCO 2 car elle peut être normale alors que l'enfant présente une hypoventilation alvéolaire nocturne [30], comme cela a été observé pour 3 enfants de notre cohorte.…”

“…Elle pose un problème de coût et d'accessibilité plus particuliè-rement en pédiatrie. Les centres du sommeil, qui s'occupent d'adultes sont surchargés, n'ont pas les qualifications pour accueillir les enfants de moins de 6 ans [13,17,18] et ne prennent pas toujours en compte les critères pédiatriques d'interprétation. Lorsque des PSG ont pu être réalisées, les équipes pédiatriques se sont adaptées en fonction de la clinique si l'IAH était < 10/h et débutaient une ventilation d'emblée si l'IAH !…”

“…La recherche de ces troubles respiratoires chez les enfants obèses nécessite au moins une attention clinique : l'association des deux pathologies potentialise notamment le risque cardiovasculaire et de syndrome métabolique, avec un retentissement persistant à l'âge adulte [3,10,13,16]. L'accessibilité limitée des enfants aux laboratoires du sommeil et le coût de réalisation d'une PSG posent un problème majeur de diagnostic pédiatrique de SAOS [13,17,18]. La présente étude avait pour but d'évaluer les pratiques de dépistage des troubles respiratoires liés à l'obésité et la prise en charge de ces troubles au sein de la cohorte d'enfants à obésité sévère explorée dans un centre pédiatrique spécialisé de l'obésité.…”