The first flush phenomenon of urban wet weather discharges is presently a controversial subject. Scientists do not agree with its reality, nor with its influences on the size of treatment works. Those disagreements mainly result from the unclear definition of the phenomenon. The objective of this article is first to provide a simple and clear definition of the first flush and then to apply it to real data and to obtain results about its appearance frequency. The data originate from the French database based on the quality of urban wet weather discharges. We use 80 events from 7 separately sewered basins, and 117 events from 7 combined sewered basins. The main result is that the first flush phenomenon is very scarce, anyway too scarce to be used to elaborate a treatment strategy against pollution generated by urban wet weather discharges.
The purpose of this study was to estimate the volume of urban stormwater which must be treated in order to achieve a given efficiency in terms of pollutant retention in a storm basin. The data used for this were those from the French national programme (1980-82), collected in four separately sewered catchments whose area is less than 100 hectares. The intercepted loads for one year and for the most polluted events have been calculated for interception volumes varying between 0 and 300 m3 per impervious hectare. It was concluded that 100 m3/imp ha can intercept about 80% of the annual load of SS, BOD5 and COD. But for the most polluted events, to achieve the same efficiency (80% of the produced load), a reservoir volume of 200 m3/imp ha is needed. The reduction of frequency of the most polluted events was also studied: for the events of which the load is in excess of 5% of the annual load produced, even a storage volume of 200 m3/imp ha is insufficient to entirely prevent these occurring.
Notre étude n'a pas été réalisée dans le but d'établir une évaluation financière. C'était en fait un exercice d'école qui nous permettait de savoir s'il y avait, de façon évidente, des butoirs technologiques à l'augmentation des débits à admettre sur les stations, étant entendu qu'il n'était pas du tout évident qu'il faille traiter par voie biologique tous les volumes stockés. Mais, nous nous sommes placés dans le cas où l'on voulait éliminer la pollution dissoute par voie biologique. L'exercice étant un exercice d'école, il devrait bien sûr être confronté à des applications pratiques, ne serait-ce qu'en pilote industriel. Nous n'avons pas trouvé d'handicap théorique majeur lors des prédimensionne-ments. Quant aux coûts, ils suivent les surdimensionnements imposés, c'est-à-dire qu'il faut multiplier le coût par trois environ pour accepter six fois le débit moyen par temps sec.M Jean-Marc SOTTY (Ville de Marseille) Dispose-t-on, dans un souci opérationnel, d'indicateurs écono-miques (coût de revient à la tonne de MES piégées par exemple) permettant de hiérarchiser les différentes solutions proposées?M Louis HERREMANS Deux bassins de décantation ne donnent pas obligatoirement la même réponse économique. Pour reprendre l'exemple que j'ai présenté hier sur Arras, on a essayé de hiérarchiser l'ensemble des bassins de dépollution ou de stockage à réaliser sur le réseau du District et la réponse économique de chacun des bassins est relativement différente. Nous avons raisonné sur le kilo de D80 enlevé. On s'aperçoit, en fait, que les bassins les plus importants, donc ceux qui permettent d'enlever le maximum de pollution, sont les plus intéressants économiquement, bien que ce soient les plus chers. De tous petits bassins qui ne coûtent pas très cher ont une réponse économique très faible. COMMUNICATIONS DES DECANTEURS POUR TRAITER LA POLLUTION DES REJETS URBAINS PAR TEMPS DE PLUIE INTRODUCTIONLa pollution des rejets urbains par temps de pluie, mesurée au cours de multiples campagnes, apparaît assez spécifique: -tout d'abord des débits et des volumes très importants pour les traitements; -cependant une simple décantation constitue une filière de traitement efficace en général.De ce fait, l'une de nos armes majeures dans la lutte contre cette pollution sera constituée par des ouvrages de décantation. Nous ne perdons pas de vue, bien sûr, qu'il ne s'agit que d'une partie de l'arsenal imaginable à déployer de l'amont vers l'aval, et à distribuer entre réseaux pluviaux des périphéries des grandes agglomérations et réseaux unitaires de leurs centres. Mais c'est sans doute un élément central.Ces décanteurs seront de plusieurs types: -à dominante stockage-décantation, de volume assez important mais où on s'efforcera aussi d'optimiser le débit traversier, et de concevoir en conséquence la géométrie et l'hydraulique; -à dominante traitement au fil de l'eau, où le débit admissible sera optimisé en limitant la distance verticale à parcourir par les particules pour qu'elles soient décantées et où le débit sera convenablement répar...
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