Rationale Severe acute respiratory syndrome coronavirus 2 (SARS‐CoV‐2) causes long‐term pulmonary sequelae in adults, but little is known about pulmonary outcomes in pediatrics. Objective(s) The aim of this study was to describe long‐term subjective and objective pulmonary abnormalities after SARS‐CoV‐2 infection in pediatric populations. Methods Single‐center, retrospective cohort of patients seen in post‐coronavirus disease 2019 (COVID‐19) pulmonary clinic in 2021. Subjects evaluated had persistent pulmonary symptoms 4 weeks or more after initial infection. Clinical testing included a 6‐min walk test (6MWT), chest X‐ray, pre‐ and postbronchodilator spirometry, plethysmography, and diffusion capacity. Patients were followed 2‐to‐3‐months after the initial visit with repeat testing. The primary outcome was the presence of abnormal pulmonary function testing. Secondary measures included variables associated with pulmonary outcomes. Results Eighty‐two adolescents were seen at a median of 3.5 months postinfection, with approximately 80% reporting two or more symptoms at clinic presentation (cough, chest pain, dyspnea at rest, and exertional dyspnea). At follow‐up (~6.5 months) exertional dyspnea persisted for most (67%). Spirometry was normal in 77% of patients, but 31% had a positive bronchodilator response. No abnormalities were noted on plethysmography or diffusion capacity. Clinical phenotypes identified included inhaled corticosteroid responsiveness, paradoxical vocal fold motion disorder, deconditioning, and dysautonomia. Multivariable modeling demonstrated that obesity, anxiety, and resting dyspnea were associated with reduced 6MWT, while female sex and resting dyspnea were associated with higher Borg Dyspnea and Fatigues scores. Conclusions This is the largest study to date of pediatric patients with long‐term pulmonary sequelae post‐COVID‐19. Identified clinical phenotypes and risk factors warrant further study and treatment.

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Les fouilles effectuées de 1970 à 1988 sur le site de l'ancienne abbaye de Psalmodi (Gard) ont d'abord mis au jour les imposants vestiges de l'église gothique, qui ne fut jamais achevée, et d'un grand cloître ; on y voyait un mélange de traditions de l'architecture romane languedocienne et d'innovations gothiques. Puis les fouilleurs mont mis au jour les vestiges de l'église primitive, qui était un édifice à nef unique, et des maçonneries qui semblent avoir appartenu à deux campagnes romanes. La localisation exacte du cloître roman n'a pu être précisée ; mais quinze fragments sculptés d'excellente qualité, provenant en particulier de tailloirs, ont été découverts sur le site.

Lorsqu'en 659 elle sentit la mort approcher, Gertrude, abbesse de Nivelles, donna de strictes instructions relatives à son vêtement funèbre : il fallait qu'on ne lui mît qu'un cilice et qu'un « très grossier » voile de nonne donné par quelque pèlerin, sans autre ornement, insista-t-elle, qui fût de laine ou de lin. Une telle insistance suggère qu'elle savait combien cet excès d'humilité choquerait de la part de celle qui, nonne ou pas, se trouvait être la fille de Pépin de Landen et d'Itta. Après tout, Theodechilde, l'abbesse fondatrice de Jouarre, qui mourut seulement quelques années plus tard, fut enterrée avec un manteau brodé de fils d'or — moins splendide sans doute que la superbe tunique (fig. 1) dont la broderie colorée imite la joaillerie du temps et qui a été associée à la sépulture de la reine Bathilde, morte à la même époque dans sa retraite monastique.