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This article focuses on the failed colony at Sagadahoc, also called the Popham Colony, which existed on the coast of Maine between the autumn of 1607 and the autumn of 1608. Although plagued with a striking list of shortcomings nd defects, including poor planning and support from England, lack of immediately profitable resources in the region, incompetent leadership and factionalism, and a historically brutal winter, the colony's most important failure was ts settlers' troubled dealings with the local Etchemin Indians. Unfortunately, the colonists needed good relations ith the Indians in order to engage in the fur trade, which could have been the foundation of economic success for he colony. That tension produced the paradox of Sagadahoc.

In 2012, the Canada-Nunavut Geoscience Office initiated a targeted regional bedrock mapping project on Hall Peninsula, southern Baffin Island. During the first field season, mapping focussed on the southern portion of the peninsula covering approximately 20 000 km2. Mapping defined two lithological domains: an eastern domain comprising a tonalite gneissic basement overlain or imbricated with supracrustal rocks, and intruded by two granitic suites; and a western domain characterized by metasedimentary rocks intruded by a tonalite-granodiorite suite, charnockite and garnet monzogranite. The discovery of ultramafic rocks points to possibly interesting new sources of carving stone and may also have potential for nickel-copper-PGE mineralization. The large area underlain by orthogneiss basement units could be host to diamond-bearing kimberlites similar to the ones found in the northern portion of the peninsula. Based on the reported geology, other types of mineralization can also be considered, such as gold associated with iron-formation and VMS deposits associated with supracrustal packages.

Cet article avance l'idée que les Indiens wabénaqui du nord de la NouvelleAngleterre et du sud du Québec conservèrent une interprétation globale de l'activité rituelle au cours de la période coloniale. Lors de la période de crise entre les années 1670 et 1700, époque où les missions wabénaquises prirent racine, les Indiens croyaient à l'importance des rites en tant qu'outils capables de lutter contre les problèmes auxquels ils se heurtaient, et ainsi embrassèrent-ils le baptême, et ensuite la messe, en tant que rites fondamentaux des missions. Ils continuèrent cependant de concevoir la pratique rituelle catholique de la même façon que la pratique rituelle wabénaqui, dans la mesure où ils interprétaient la messe ou tout rituel chrétien en général comme étant non exclusif, et non pas nécessairement lié à l'ordre moral et à la doctrine de foi que les Jésuites attachaient aux rites catholiques. Cette attitude leur permit de continuer à adopter d'autres rites, dans la mesure où ils les trouvaient effıcaces et adaptés à leurs besoins. C'est ainsi qu'entre les années 1710 et 1720, pendant les périodes de tension et de guerre contre les Anglais de la Nouvelle Angleterre, un rituel particulièrement puissant fıt son chemin en wabénaquia: la danse du calumet. Un grand nombre de wabénaquis soutenaient son adoption. Certains pensaient que ce rite pouvait remplacer le rituel catholique, qu'ils trouvaient CHRISTOPHER J. BILODEAU is Assistant Professor of history at Dickinson College. He researches the history of American IndianEuropean interaction during the colonial period in the northeast borderlands. 1 désormais inutile, tandis que d'autres Indiens faisaient valoir que le rite pouvait se pratiquer de façon concomitante avec le catholicisme. Toutefois, au plan de la pratique rituelle, les wabénaquis considéraient le rituel catholique et ce nouveau rituel du calumet comme étant interchangeables. Rien n'empêchait donc les wabénaquises de s'approprier de nouvelles activités rituelles tant qu'ils pensaient que ces dernières pouvaient fonctionner en leur faveur.

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