The efficacy of convalescent plasma for coronavirus disease 2019 (COVID-19) is unclear. Although most randomized controlled trials have shown negative results, uncontrolled studies have suggested that the antibody content could influence patient outcomes. We conducted an open-label, randomized controlled trial of convalescent plasma for adults with COVID-19 receiving oxygen within 12 d of respiratory symptom onset (NCT04348656). Patients were allocated 2:1 to 500 ml of convalescent plasma or standard of care. The composite primary outcome was intubation or death by 30 d. Exploratory analyses of the effect of convalescent plasma antibodies on the primary outcome was assessed by logistic regression. The trial was terminated at 78% of planned enrollment after meeting stopping criteria for futility. In total, 940 patients were randomized, and 921 patients were included in the intention-to-treat analysis. Intubation or death occurred in 199/614 (32.4%) patients in the convalescent plasma arm and 86/307 (28.0%) patients in the standard of care arm—relative risk (RR) = 1.16 (95% confidence interval (CI) 0.94–1.43, P = 0.18). Patients in the convalescent plasma arm had more serious adverse events (33.4% versus 26.4%; RR = 1.27, 95% CI 1.02–1.57, P = 0.034). The antibody content significantly modulated the therapeutic effect of convalescent plasma. In multivariate analysis, each standardized log increase in neutralization or antibody-dependent cellular cytotoxicity independently reduced the potential harmful effect of plasma (odds ratio (OR) = 0.74, 95% CI 0.57–0.95 and OR = 0.66, 95% CI 0.50–0.87, respectively), whereas IgG against the full transmembrane spike protein increased it (OR = 1.53, 95% CI 1.14–2.05). Convalescent plasma did not reduce the risk of intubation or death at 30 d in hospitalized patients with COVID-19. Transfusion of convalescent plasma with unfavorable antibody profiles could be associated with worse clinical outcomes compared to standard care.
Background There is no consensus on how to best achieve a low central venous pressure during hepatectomy for the purpose of reducing blood loss and red blood cell (RBC) transfusions. We analyzed the associations between intraoperative hypovolemic phlebotomy (IOHP), transfusions, and postoperative outcomes in cancer patients undergoing hepatectomy. Methods Using surgical and transfusion databases of patients who underwent hepatectomy for cancer at one institution (11 January 2011 to 22 June 2017), we retrospectively analyzed associations between IOHP and RBC transfusion on the day of surgery (primary outcome), and with total perioperative transfusions, intraoperative blood loss, and postoperative complications (secondary Maher Al Khaldi and Filip Gryspeerdt-Co-first authors, equal contribution.
multilocular abscesses (Type III) had significantly lower failure rates following algorithmic approach with primary surgical treatment (3/32) compared to first-line antibiotics or percutaneous drainage (24/80) (9.3% versus 30.0%, p=0.021) with no 30-day mortalities for either group. Large unilocular abscesses (Type II) failed first-line percutaneous drainage in 25.5% (13/51), with 10 patients requiring escalation to surgery. Treatment of Type II abscesses with primary surgery rather than percutaneous drainage was successful in 88.2% (15/17) with no 30-day mortalities. Conclusion: Primary surgical intervention is highly successful in the treatment of large pyogenic liver abscesses. While antibiotic therapy remains the mainstay of treatment for small acute liver abscesses, in light of higher failure rates for percutaneous drainage we propose that surgical intervention should be considered for select patients with large complex abscesses as up-front definitive treatment.
11 NOTES AUX LECTRICES ET LECTEURSEn effet, la présente recherche s'inscrit à l'intérieur d'un contexte social précis, contexte notamment caractérisé par l'inégalité des rapports sociaux entre les hommes et les femmes. Afin d'éclairer cette situation, la notion de construction sociale des genres est utilisée comme étant le processus par lequel sont attribués des rôles sociaux spécifiques aux hommes et aux femmes et qui a pour effet d'engendrer des inégalités. L'influence de la construction sociale des identités sexuelles sur la dynamique d'aide et de soutien auprès d'un-e proche ayant des incapacités est donc ici explorée. En se basant sur une perspective IV féministe, la présente recherche traite de la socialisation différenciée entre les hommes et les femmes qui mène à une oppression systémique des femmes au sein du marché du travail, mais également à l'intérieur de la sphère privée en tant que principales responsables des tâches domestiques tout comme des soins aux enfants et aux personnes vivant avec des incapacités.Cette recherche qualitative descriptive a été effectuée dans le cadre de la maitrise en travail social à l'UQAC. Elle a été réalisée à l'aide de 18 entrevues semi-dirigées en profondeur effectuées auprès de conjoint-e-s aidant-e-s de personnes atteinte du phénotype adulte de la DM1 dans un contexte de vie commune à domicile. La collecte de données a ainsi regroupé 7 femmes et 11 hommes du Saguenay-Lac-Saint-Jean qui apportent de l'aide et du soutien à leur partenaire. Il a été observé que le lien avec la personne aidée, dans la présente étude celui de conjoint-e, joue un rôle prépondérant dans les motivations à assumer le rôle d'aidant-e. Il semble également exister chez plusieurs des personnes rencontrées un sentiment d'obligation, de responsabilité ou de culpabilité qui sous-tend l'implication auprès de leur partenaire. En ce qui a trait aux pratiques effectuées par les personnes aidantes, il semble qu'elles ne donnent pas en général de soins de santé complexes, leur apport se situant davantage sur le plan des activités de la vie domestique et quotidienne. Toutefois, certaines divergences ont été constatées dans la perception que les aidant-e-s entretiennent relativement à l'aide apportée à leur partenaire et ce, plus spécifiquement pour les tâches domestiques. Les femmes ont ainsi tendance à occulter cet apport, étant donné que ces tâches représentent encore aujourd'hui une partie des rôles qui leur sont socialement assignés en raison de leur genre. Les hommes quant à eux amènent davantage cette implication en la qualifiant d'aide directe apportée à leur partenaire. Par ailleurs, il a été observé que les aidant-e-s vivent de nombreuses conséquences qui découlent de leur implication auprès de leur partenaire. Les impacts sur leur vie de couple ressortent particulièrement. En effet, les aidant-e-s doivent adapter leurs attentes par rapport à leur vie conjugale en fonction de la maladie de leur partenaire. Enfin, il semble que les répercussions négatives vécues par certaines femmes aidantes sur l...
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